Une Bretagne qui défend ses pêcheurs, et qui valorise ses richesses maritimes et son commerce
Notre ambition est de faire de la Bretagne une grande place maritime européenne en développant ses 4 filières économiques: la construction et la réparation navale, la pêche et ses industries de transformation, le commerce maritime et la plaisance.
Objectifs: défendre les intérêts des pêcheurs bretons, redonner à la Bretagne son rang de grand pays maritime, profiter de sa position centrale sur un des grands axes du commerce mondial, préserver et valoriser les richesses de la mer.
Moyens: la Région Bretagne, ayant la compétence portuaire, a délégué le service public pour les ports de Saint-Malo, Lorient et Brest aux Chambres de Commerces et d'Industrie. La Région Bretagne peut défendre une politique maritime plus ambitieuse et cohérente sur les 5 départements bretons.
Nous voulons
Pour la formation
- soutenir les lycées professionnels maritimes d'Etel, le Guilvinec, Paimpol, Saint Malo et de Nantes, et les écoles nationales de marine marchande de Saint-Malo et de Nantes,
- créer une école supérieure de l’enseignement maritime, pour que les marins bretons ne soient plus obligés de faire leurs études à Marseille ou au Havre.
Pour les ports
- créer des pôles économiques maritimes. Un pôle Atlantique: Lorient - Nantes et Saint-Nazaire. Un pôle Manche: Brest, Roscoff, Saint-Malo,
- créer des zones industrialo-portuaires. Le tissu urbain a peu à peu gagné sur les zones portuaires de Brest, Lorient, Saint-Brieuc et Saint-Malo. Il convient donc de développer, au delà des zones bord à quai, des sites déportés de stockage et de transformation reliés aux infrastructures portuaires par des voies ferrées de préférence ou routières,
- relier les ports bretons au reste de l’Europe et développer le cabotage,
- mettre en place des autoroutes de la mer qui permettent aussi de transporter sur mer des camions. Par exemple, la liaison entre Montoir-de-Bretagne et Gijon et Vigo en Espagne, La Bretagne c'est 39 millions de tonnes de marchandises tous ports confondus, dont 30 millions de tonnes rien que pour Nantes/Saint-Nazaire. Actuellement, l’acheminement du fret par la route génère de la perte de temps et de la pollution. Le transport maritime, c’est 90% des échanges mondiaux et 3% des émissions de CO².
Pour la pêche et l'aquaculture
- défendre au niveau européen les quotas de pêche bretons avec une gestion durable de la ressource. La pêche bretonne doit être fermement soutenue au sein de l'Union Européenne,
- soutenir l'aquaculture, avec les garanties environnementales nécessaires. L'aquaculture est un domaine économique encore trop négligé (poissons, conchyliculture, algues). En effet, le déficit français des produits de la mer, pêche et aquaculture, est de 2 591 millions d'euros par an. La France exporte 430 000 tonnes et importe 1,1 millions de tonnes de produits de la mer.
Pour la construction navale
- soutenir la construction navale (commerce et plaisance). La Bretagne réunifiée donnera plus de poids au Chantier Naval de Saint-Nazaire,
- faire des chantiers de déconstruction. L’épisode du Clémenceau, dont la déconstruction est réalisée au final en Grande Bretagne, montre à quel point l'Etat français se moque de l’industrie navale bretonne. Brest est le port idéal pour ces activités industrielles pourvoyeuses d’emploi. Nous soutenons le fait que Brest, en plus de la construction navale, a vocation à être aussi un pôle européen de déconstruction de bateaux.
Pour la sécurité maritime,
- créer un corps de garde-côtes breton dont la mission sera l'assistance en mer, le contrôle de l'état des navires, la surveillance de la circulation en mer, la prévention des dégazages et des risques de pollutions.
Objectifs: défendre les intérêts des pêcheurs bretons, redonner à la Bretagne son rang de grand pays maritime, profiter de sa position centrale sur un des grands axes du commerce mondial, préserver et valoriser les richesses de la mer.
Moyens: la Région Bretagne, ayant la compétence portuaire, a délégué le service public pour les ports de Saint-Malo, Lorient et Brest aux Chambres de Commerces et d'Industrie. La Région Bretagne peut défendre une politique maritime plus ambitieuse et cohérente sur les 5 départements bretons.
Nous voulons
Pour la formation
- soutenir les lycées professionnels maritimes d'Etel, le Guilvinec, Paimpol, Saint Malo et de Nantes, et les écoles nationales de marine marchande de Saint-Malo et de Nantes,
- créer une école supérieure de l’enseignement maritime, pour que les marins bretons ne soient plus obligés de faire leurs études à Marseille ou au Havre.
Pour les ports
- créer des pôles économiques maritimes. Un pôle Atlantique: Lorient - Nantes et Saint-Nazaire. Un pôle Manche: Brest, Roscoff, Saint-Malo,
- créer des zones industrialo-portuaires. Le tissu urbain a peu à peu gagné sur les zones portuaires de Brest, Lorient, Saint-Brieuc et Saint-Malo. Il convient donc de développer, au delà des zones bord à quai, des sites déportés de stockage et de transformation reliés aux infrastructures portuaires par des voies ferrées de préférence ou routières,
- relier les ports bretons au reste de l’Europe et développer le cabotage,
- mettre en place des autoroutes de la mer qui permettent aussi de transporter sur mer des camions. Par exemple, la liaison entre Montoir-de-Bretagne et Gijon et Vigo en Espagne, La Bretagne c'est 39 millions de tonnes de marchandises tous ports confondus, dont 30 millions de tonnes rien que pour Nantes/Saint-Nazaire. Actuellement, l’acheminement du fret par la route génère de la perte de temps et de la pollution. Le transport maritime, c’est 90% des échanges mondiaux et 3% des émissions de CO².
Pour la pêche et l'aquaculture
- défendre au niveau européen les quotas de pêche bretons avec une gestion durable de la ressource. La pêche bretonne doit être fermement soutenue au sein de l'Union Européenne,
- soutenir l'aquaculture, avec les garanties environnementales nécessaires. L'aquaculture est un domaine économique encore trop négligé (poissons, conchyliculture, algues). En effet, le déficit français des produits de la mer, pêche et aquaculture, est de 2 591 millions d'euros par an. La France exporte 430 000 tonnes et importe 1,1 millions de tonnes de produits de la mer.
Pour la construction navale
- soutenir la construction navale (commerce et plaisance). La Bretagne réunifiée donnera plus de poids au Chantier Naval de Saint-Nazaire,
- faire des chantiers de déconstruction. L’épisode du Clémenceau, dont la déconstruction est réalisée au final en Grande Bretagne, montre à quel point l'Etat français se moque de l’industrie navale bretonne. Brest est le port idéal pour ces activités industrielles pourvoyeuses d’emploi. Nous soutenons le fait que Brest, en plus de la construction navale, a vocation à être aussi un pôle européen de déconstruction de bateaux.
Pour la sécurité maritime,
- créer un corps de garde-côtes breton dont la mission sera l'assistance en mer, le contrôle de l'état des navires, la surveillance de la circulation en mer, la prévention des dégazages et des risques de pollutions.
Le Programme de "Nous te ferons Bretagne" (PDF) |
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