Dimanche prochain 14 mars auront lieu les élections régionales. Les sondages prédisent un très fort taux d'abstention, en particulier chez les jeunes. Pourquoi ?
Le problème fondamental, c'est que les enjeux des régionales ne sont pas du tout identifiés. Et comment pourraient-ils l'être ? La région a un budget dérisoire, une autonomie budgétaire très faible, et ne peut faire que très peu de choix réellement politiques. Disons le clairement, un conseiller régional aujourd'hui ne sert pas à grand-chose. Comment alors s'étonner que les jeunes ne s'intéressent pas à ces élections ?
A quelques jours du scrutin, de nombreux mouvements politiques lancent un appel au civisme. Sans volonté de changer l'impuissance de la collectivité régionale, celui-ci n'a pas beaucoup de sens. Si on veut enrayer la spirale de l'abstention aux régionales, si l'on veut susciter de l'intérêt pour le politique, il y a deux chose à faire : faire correspondre les limites de la région administrative aux territoire vécus et clairement identifiés, par le biais de la réunification de la Bretagne ; faire de la collectivité régionale un acteur majeur de la vie politique en lui donnant une visibilité et des compétences très fortes à l'image de ce qui se fait dans les autres états européens.
Des onze listes présentes, c'est de très loin Nous te ferons Bretagne qui s'engage le plus clairement dans cette voie. Son programme va au-delà du strict cadre des compétences actuelles de la région. Christian Troadec et tous les candidats s'engagent à apporter des solutions aux problèmes spécifiques aux jeunes, notamment sur les questions d'emploi, de transport, de logement, d'accès à la culture, et surtout à se donner les moyens de mettre en œuvre un programme fort, au-delà des quelques gadgets actuels.
Le problème fondamental, c'est que les enjeux des régionales ne sont pas du tout identifiés. Et comment pourraient-ils l'être ? La région a un budget dérisoire, une autonomie budgétaire très faible, et ne peut faire que très peu de choix réellement politiques. Disons le clairement, un conseiller régional aujourd'hui ne sert pas à grand-chose. Comment alors s'étonner que les jeunes ne s'intéressent pas à ces élections ?
A quelques jours du scrutin, de nombreux mouvements politiques lancent un appel au civisme. Sans volonté de changer l'impuissance de la collectivité régionale, celui-ci n'a pas beaucoup de sens. Si on veut enrayer la spirale de l'abstention aux régionales, si l'on veut susciter de l'intérêt pour le politique, il y a deux chose à faire : faire correspondre les limites de la région administrative aux territoire vécus et clairement identifiés, par le biais de la réunification de la Bretagne ; faire de la collectivité régionale un acteur majeur de la vie politique en lui donnant une visibilité et des compétences très fortes à l'image de ce qui se fait dans les autres états européens.
Des onze listes présentes, c'est de très loin Nous te ferons Bretagne qui s'engage le plus clairement dans cette voie. Son programme va au-delà du strict cadre des compétences actuelles de la région. Christian Troadec et tous les candidats s'engagent à apporter des solutions aux problèmes spécifiques aux jeunes, notamment sur les questions d'emploi, de transport, de logement, d'accès à la culture, et surtout à se donner les moyens de mettre en œuvre un programme fort, au-delà des quelques gadgets actuels.
Dimanche prochain, participe aux élections, et vote Nous te ferons Bretagne !
Pour le Mouvement des Jeunes Bretons, Kevin Jézéquel Porte-parole
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